L’enquête OpinionWay pour Roche Diabetes Care France fait état d’un bon niveau d’information déclaré sur l’équilibre alimentaire, de manière un peu plus marquée chez les patients : les patients DT2 interrogés estiment ainsi leur niveau de connaissance à 7,4/10 pour une moyenne de 7/10 chez le grand public. Cela se dégrade lorsqu’on leur demande leur niveau de connaissance sur les différentes familles d’aliments (glucides, protéines, lipides...) : 6,4/10 en moyenne pour le grand public et 7/10 pour les DT2.
Quand on creuse, il semble qu’il y ait en effet un vrai besoin de renforcer l’éducation à ce sujet : la grande majorité des interrogés sont conscients du fait que le pain et les céréales contiennent des glucides, mais moins de la moitié des Français savent qu’il y en a dans les fruits (48 %).
Même chez les patients DT2 c’est loin d’être une connaissance largement partagée (60 % le savent alors qu’ils devraient être sensibilisés à ce sujet). 19 % des Français et 23 % des DT2 trouvent des glucides là où il n’y en a pas (par exemple dans la viande). Cela démontre une réelle confusion.
Le médecin généraliste a un rôle clé à jouer sur ces enjeux d’information puisqu’il reste la source d’information principale sur l’équilibre alimentaire : 70 % des diabétiques et 44 % des Français le citent. Le diététicien/nutritionniste est aussi très sollicité par les patients, plus sensibilisés sur l’importance d’une alimentation équilibrée (notamment les plus jeunes – 35-49 ans – qui le citent à 58 %).
Lorsque l’on interroge les Français sur leurs habitudes alimentaires, certains résultats sont inattendus car éloignés des recommandations officielles : seuls 47 % d’entre eux consomment des légumes quotidiennement (et à peine plus chez les personnes diabétiques), et 9 % grignotent entre les repas chaque jour. Chez les personnes diabétiques, on constate néanmoins sans surprise que le diagnostic les invite à modifier leur alimentation : 92 % des DT2 ont réduit leur consommation de produits sucrés et de produits gras, et 81 % leur consommation d’alcool.
Le contexte économique a également chamboulé les habitudes de consommation alimentaires.
Un changement qui ressort fortement dans cette enquête et qui concerne toutes les catégories socioprofessionnelles : le prix est souvent le premier critère pris en compte lors de l’achat (pour 44 % de Français et 41 % des personnes diabétiques), loin devant les valeurs nutritionnelles des produits (seuls 12 % des Français et 19 % des DT2 les citent en premier critère de choix). D’ailleurs, qu’ils soient diabétiques ou non, les Français considèrent en majorité que le prix est un frein à l’adoption d’une alimentation équilibrée. Plus d’1/3 des personnes évoquent également le manque de motivation ou une difficulté à modifier leurs habitudes alimentaires. Lorsqu’ils sont interrogés sur ce qui pourrait les inciter à adopter une alimentation plus équilibrée, les premières réponses sont : des prix plus compétitifs sur les produits sains (64 % des Français, 60 % des DT2), des idées de recettes saines et rapides (45 % Français, 48 % DT2) ou encore des raisons médicales (42 % Français et 50 % DT2).
Phil est une application mobile gratuite développée par Roche Diabetes Care France permettant – grâce à des idées de recettes saines et simples à réaliser (avec une toute nouvelle rubrique spéciale « petits prix »), un scan des ingrédients… – un accompagnement personnalisé autour de la nutrition pour les patients atteints de diabète de type 2, et pour tous ceux qui aimeraient manger mieux demain !
Nouveauté : elle est désormais connectée au Drive Intermarché pour transformer directement sa liste de courses en panier.
Manger équilibré c’est surtout de l’assemblage. Pour chaque repas il faudrait des légumes, des féculents, et des protéines animales ou végétales. Astuce pour les petits budgets : pour les légumes il n’est pas nécessaire d’avoir des produits frais, des surgelés pourront tout à fait faire l’affaire !
Plus elle est courte, plus la qualité est au rendez-vous ! Il faut bien regarder notamment les premiers ingrédients qui apparaissent sur l’étiquette : s’il est composé en premier de sucre ou d’eau, il ne vaut mieux pas le choisir.
Ils sont souvent plus nutritifs car ils conservent leur teneur en vitamines, minéraux et fibres. De plus, ils contiennent généralement moins d’additifs, de sucre et de sel que les produits transformés. Et contrairement aux idées reçues, les produits transformés comme les plats tout préparés reviennent généralement bien plus cher !
Cela permet de pallier le manque de temps et de motivation la semaine et de réduire la charge associée à la préparation des repas.
Que ce soit par un professionnel de santé spécialiste qui pourra orienter et aider dans les choix, ou par des outils technologiques comme des applications mobiles.
7/10 niveau de connaissance sur l’équilibre alimentaire estimé par les Français,
52 % des DT2 déclarent avoir un niveau de connaissance supérieur à 8/10,
52 % des Français ne savent pas qu’il y a des glucides dans les fruits,
20 % pensent qu’il y a des glucides dans la viande.
91 % des Français font leurs courses dans les hypermarchés/supermarchés au moins Une fois par mois et ½ Français va au moins une fois par mois dans un hard-discount (tous CSP confondus),
1/2 des Français déclare consommer quotidiennement des légumes,
30 % des Français font moins de 3 repas par jours.
#1 - Le prix (77 % Français, 78 % DT2)
#2 - Les promotions (52 % Français et 28 % DT2)
#3 - L’origine géographique des produits (43 % Français, 45 % DT2)
#4 - Les valeurs nutritionnelles (37 % Français, 44 % DT2)
Sources
Étude réaliséé par l’Institut NielsenIQ, sur de 1 000 produits de grande consommation en France entre le 1er juillet 2021 et le 30 juin 2023.
Selon l’Office statistique de l’Union européenne (Eurostat) publiée en septembre 2023.
Enquête OpinionWay pour Roche Diabetes Care France réalisée en ligne du 31 août au 8 septembre 2023 auprès de 1 001 Français de 18 ans et plus et d’un échantillon de 302 diabétiques de type 2.
M-FR-00010121 -1.0 - Établi en novembre 2023
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